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samedi, septembre 26, 2015

"Le sang des rêves" de Mine G. Kirikkanat (Turquie)

Certains d'entre nous ont eu la chance de la rencontrer au très beau Festival d'Une Mer à l'Autre qui s'est déroulé cette année du 4 au 6 septembre à Collioure.
 Née en 1951 à Ankara (Turquie), Mine G. Kirikkana est journaliste, laïque et démocrate. Elle a été élue, à trois reprises, la journaliste la plus courageuse de Turquie… Sa vision de sociologue des religions et de grande voyageuse, nous apporte un éclairage très lucide sur les événements complexes que nous vivons actuellement. Autant vous dire qu'elle n'est pas particulièrement optimiste…


Marc Ossorguine nous parle de son dernier roman, « Le Sang des rêves », paru aux éditions Métailié en 2010. 
 
« L’histoire et la géo-politique sont toujours au cœur de ce roman qui joue avec les codes des genres littéraires, s’en amusant autant que leur rendant une forme d’hommage. Nous sommes cette fois plongés dans un monde qui, en plus de l’anticipation politique, est celui de l’espionnage et, dans une certaine mesure, de la science-fiction. L’hommage à l’un des maîtres du genre est triple, à travers le personnage de Daryal, alias Nejla, déclinaison turque d’un certain Bond, James Bond, au travers du maître de l’opération en cours, un certain Flemming, comme le créateur de l’agent 007, et au travers des situations rocambolesque que traversent les personnages de ce roman. Mine G. Kirikkanat nous entraîne sans coup férir dans les joutes complexes et improbables entre agents jonglant avec la ruse et les dissimulations, le secret et la séduction, mais aussi capables d’erreur et de naïvetés. »






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