Certains
d'entre nous ont eu la chance de la rencontrer au très beau Festival d'Une Mer à l'Autre qui s'est déroulé cette année du 4 au 6
septembre à Collioure.
Née
en 1951 à Ankara (Turquie), Mine G. Kirikkana est journaliste,
laïque et démocrate. Elle a été élue, à trois reprises, la
journaliste la plus courageuse de Turquie… Sa vision de sociologue
des religions et de grande voyageuse, nous apporte un éclairage très
lucide sur les événements complexes que nous vivons actuellement.
Autant vous dire qu'elle n'est pas particulièrement optimiste…
Marc
Ossorguine nous parle de son dernier roman, « Le Sang des
rêves », paru aux éditions Métailié en 2010.
« L’histoire
et la géo-politique sont toujours au cœur de ce roman qui joue avec
les codes des genres littéraires, s’en amusant autant que leur
rendant une forme d’hommage. Nous sommes cette fois plongés dans
un monde qui, en plus de l’anticipation politique, est celui de
l’espionnage et, dans une certaine mesure, de la science-fiction.
L’hommage à l’un des maîtres du genre est triple, à travers le
personnage de Daryal, alias Nejla, déclinaison turque d’un certain
Bond, James Bond, au travers du maître de l’opération en cours,
un certain Flemming, comme le créateur de l’agent 007, et au
travers des situations rocambolesque que traversent les personnages
de ce roman. Mine G. Kirikkanat nous entraîne sans coup férir dans
les joutes complexes et improbables entre agents jonglant avec la
ruse et les dissimulations, le secret et la séduction, mais aussi
capables d’erreur et de naïvetés. »
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