On aime bien Victor Del Arbol chez les Collecteurs ! En fouillant dans ce blog, vous trouverez d'autres articles sur ses précédents romans !
jeudi, février 07, 2019
« Par delà la pluie » de Victor del Arbol (Espagne)
On aime bien Victor Del Arbol chez les Collecteurs ! En fouillant dans ce blog, vous trouverez d'autres articles sur ses précédents romans !
mercredi, mai 06, 2015
Nous avons aimé
Après les impressions de lecture de Liliana Tavera et de Laurence Holvoet, voici celles de Françoise Jarrousse :
lundi, mars 22, 2021
« El hijo del Padre » de Victor del Arbol (Espagne)
Il faut se souvenir de la dédicace qui ouvre « Un millón de gotas » (« Toutes les vagues de l’océan ») : « À mon père et à nos murs de silence ». On pourrait dire que « El hijo del padre » est le moment, dans le parcours de Victor, où ces murs de silence ont été rompus.
Dès la première page, tout s’est déjà accompli : Diego Martín, ce professeur d’université, spécialiste de Dostoïevski, qui semble avoir réussi sa vie, a torturé et tué Martín Pierce dans la Casa Grande et a appelé la police.
En même temps il nous est également dit que ce n’est pas l’essentiel de l’histoire, que l’essentiel est ailleurs et que le temps des héros est révolu : « Para ser hombre hay que negarse a ser Dios » (Albert Camus, « L’homme révolté ») est-il rappelé dans la préface.
vendredi, avril 03, 2015
"Toutes les vagues de l'océan" de Victor Del Arbol
"Tu aurais pu être un homme bon Elías. Et j'aurais pu être bonne aussi. Nous avons fait beaucoup d'efforts, n'est-ce pas ? Nous avons supporté plus que nos enfants ne pourront jamais le comprendre. Nous avons atteint les limites de la souffrance et nous avons résisté. Mais à un moment donné nous avons perdu la boussole, nous avons quitté la route et n'avons pas su la retrouver.
Le temps des humiliations, de la justice et de la rancœur est venu. Nous serons haïs par ton fils, que j'ai tellement essayé de protéger de toi, nous serons haïs par ta fille, nous serons haïs par nos camarades de lutte, nos victimes, nous serons haïs par le temps et par l'Histoire.
(...) Car c'est cela, je le comprends maintenant, que nous avons toujours été. Pas des héros, pas des rampants. Juste des hommes et des femmes. Et nous avons vécu."
Et vous pouvez aussi écouter Marc, en compagnie de Françoise Jarousse, nous parler de ce livre-monument ! => http://www.divergence-fm.org/IMG/mp3/co025_150324_clairobscur_toutes_les_vagues_de_locean.mp3
"Toutes les vagues de l'océan", de Víctor Del Árbol, traduit par Claude Bleton, Actes Sud, 2015, 595p.
jeudi, juin 13, 2019
"Antes de los años terribles", de Victor del Arbol (Espagne)
lundi, février 29, 2016
« La Víspera de casi todo » Victor del Arbol, Premio Nadal 2016 !
samedi, mars 03, 2012
La Tristesse du Samuraï
vendredi, avril 03, 2015
"La Maison des chagrins", de Víctor Del Árbol
"Eduardo tente de survivre dans un appartement sans âme, grâce à l’alcool et aux psychotropes que lui prescrit la psychiatre chargée de sa réinsertion. Il vient de purger une peine de prison pour le meurtre du chauffard qui a tué sa femme et sa fille, voilà quatorze ans. Peintre autrefois coté, il gagne sa vie en exécutant à la chaîne des portraits anonymes que sa galeriste place dans les grandes surfaces. Un jour, celle-ci lui transmet une bien étrange commande : une célèbre violoniste lui demande de réaliser le portrait de l’homme qui a tué son fils. Elle veut pouvoir déchiffrer sous les traits de l’homme les caractéristiques de l’assassin. Unis dans la même douleur, la commanditaire et l’artiste ouvrent bientôt la boîte de Pandore, déchaînant tous les démons qui s’y trouvaient enfouis.
Le pinceau d’Eduardo met au jour une galerie d’êtres tourmentés, enfermés dans un drame qui a figé leur existence : un jeune Chinois androgyne qui fait commerce de son corps, un fils de combattant de l’OAS enrichi par le gaz et le pétrole d’Alger, un ex-agent de la police politique de Pinochet, un Arménien sans foi ni loi, une jeune fille abusée par l’amant de sa mère, un mercenaire soufi… Autant de personnages qui hantent la maison des chagrins, pris au piège d’une vengeance désespérée et d’un hasard qui n’est que l’autre nom du destin.
Assemblant sous les yeux du lecteur les mille et une pièces d’un terrifiant puzzle, Víctor del Árbol signe un roman vertigineux de maîtrise, glaçant de noirceur et désarmant d’humanité."
mardi, juin 09, 2015
"Gran Madam's" d'Anne Bourrel
lundi, juin 01, 2015
On s'est régalé !
Nous avons pu échanger autour de la fonction de l'écrivain, des relations auteur-traducteur, de l'humour dans la littérature,.. et de plein d'autres sujets, avec Aníbal Malvar et Carlos Zanón, Sergi Pàmies, Victor del Arbol et Aro Sáinz de la Maza.