jeudi, octobre 29, 2015

"Le Roman de Laïd" d'Anne Bourrel

Le vendredi 11 décembre prochain, nous vous invitons à rencontrer Anne Bourrel et Laurence Biberfeld au Gazette Café ! Alors nous poursuivons avec plaisir la découverte de leurs écrits...

Aujourd'hui donc, voici ce que nous dit la 4ème de couverture du « Roman de Laïd » :
« Dans le carré musulman du cimetière de Lodève-en-Rivière, une jeune femme découvre par hasard le nom de Laïd Bourhala inscrit sur l'une des tombes.
Pour recomposer l'histoire de cet homme né en Algérie, la jeune femme bascule dans le monde de la Mémoire.
 "Laïd Bourhala est mort le 4 mars 1983. Sa tombe est belle à Lodève-en-Rivière, et de lui, je ne sais rien de plus..." »
Ce roman est court et rapide à lire, et l'écriture d'Anne Bourrel est toujours fluide. Il est construit autour de deux récits. Dans la première moitié, nous sommes aux côtés de Yasmina Loiseau.

lundi, octobre 26, 2015

"D'un bord à l'autre" de Michel Arnaudiès

Michel Arnaudiès est un artiste peintre catalan… Un artiste peintre qui écrit aussi… Bon, il est très discret, et ses livres jouent un peu les fantômes sur le net ! Un poil dommage, parce que ce livre de lui que j'ai lu vaut tout à fait le détour !
Ce roman, D'un bord à l'autre, est arrivé dans mes mains grâce au très joli et très familial Festival du Livre de Collioure, D'une mer à l'autre. Il a été publié au printemps 2015 dans la collection Autres rives de Balzac Editeur, maison catalane basée à Baixas.
Voilà ce que nous dit la 4ème de couverture :
« Nos vies nous appartiennent-elles ? Comment des contraintes politiques, économiques, mises en place par la société, nous détournent de ce que nous croyons être notre destin. 
C'est à la faveur d'une mission de restructuration imposée par la direction générale de son entreprise que François Soler, le protagoniste D'un bord à l'autre, voit sa vie bouleversée.

samedi, octobre 24, 2015

"A toi", de Claudia Piñeiro (Argentine), traduit par Romain Magras

Il suffira d’un petit mot griffonné avec un bâton de rouge à lèvre qui dit “à toi” pour qu’Inès découvre que son mari Ernesto a une aventure extra-conjugale. Une aventure qui ne doit pas être la première et qu’elle s’efforce de trouver bien compréhensible, excusable même, car il ne l’a pas quittée pour autant. Tant que les apparences sont sauves et qu’il n’y a pas de drame spectaculaire… L’autre, c’est apparemment la secrétaire de son mari. Poussée par une irrésistible curiosité, Inès va cependant suivre celui-ci sur l’un de ses rendez-vous nocturnes… pour assister au meurtre accidentel de sa rivale !

mercredi, octobre 21, 2015

"La femme du soldat inconnu" de Laurence Biberfeld




Une lecture indispensable !
A l'automne 2014, à l'occasion de la sortie de cet essai salutaire, une autre Laurence, Laurence Warot, l'a résumé ainsi :
« La femme du soldat inconnu de Laurence Biberfeld fait magnifiquement écho au livre Le Deuxième Sexe de Simone de Beauvoir.
Là s’arrête la comparaison, mais elle est de taille.

mardi, octobre 20, 2015

Un petit livre précieux : "La lumière et les Cendres, milonga pour Juan Gelman" de Jacques Ancet


 

Il y a presque deux ans mourait un poète pour moi essentiel, Juan Gelman. Il avait voulu que ses cendres soient répandues dans un petit village mexicain, Nepantla, le village même où naquit la première grande voix féminine de la poésie latino américaine, Sor Juana Ines de la Cruz. Peu de temps après le poète Jacques Ancet, qui fut son traducteur, a écrit ce petit recueil qui lui rend hommage : «La lumière et les cendres, milonga pour Juan Gelman ». Ce texte est présenté dans une version bilingue et c’est Rodolfo Alonso, poète et ami de Juan Gelman qui a traduit les poèmes de Jacques Ancet.

samedi, octobre 17, 2015

« Les Enfants de Lilith », de Laurence Biberfeld





Pour lire ce roman, je m'y suis reprise à deux fois… Bon, il faut dire que c'était ma deuxième lecture sur tablette et que je ne suis pas encore parfaitement au point sur la question, en particulier avec les retours en arrière dans ma lecture quand les méandres de l'histoire sont tels que je n'ai pas tout suivi… Or ce roman de Laurence Biberfeld est particulièrement riche en méandres et en tours et détours en tout genre… Finalement, une seule solution : se laisser porter sans chercher à tout engranger ! Le lâcher-prise dans la lecture 'littéraire', voilà un thème qu'il serait intéressant de creuser, non ?!
Bref !

jeudi, octobre 08, 2015

Rencontre avec James Grady (USA) au Gazette Café, animée par Jérôme Dejean

Hier soir, mercredi 7 octobre, au Gazette Café, le café noir animé par Jérôme Dejean de la Librairie Sauramps a reçu l'illustre James Grady. Vous ne savez pas qui c'est ? Si c'est le cas, c'est sûr que vous connaissez quand même au moins l'un de ses succès, le premier même ! « Les six jours du Condor », réduits à trois par Holywood avec les fabuleux Robert Redford et Faye Dunaway, ça vous dit bien quelque chose, n'est-ce pas ?!
Maître du roman d'espionnage de la fin du 20ème siècle aux côtés de John Le Carré, son premier roman est paru en 1974, il avait alors vingt-cinq ans !

mardi, octobre 06, 2015

"Este muerto, no lo cargo yo" de María Clara Rueda (Colombie)

 
 
Il n'y a pas beaucoup d'auteurs colombiens publiés en Europe, et encore moins d'auteures colombiennes ! Alors quand l'une d'entre elle apparaît dans le paysage - en Espagne donc -, on est curieux ! Enfin, moi je suis curieuse…
Voilà donc un autre des romans que j'ai emmenés cet été dans mes bagages à la plage !


L'éditeur Alrevés le présente ainsi :

"El héroe discreto / Le héros discret" de Mario Vargas Llosa (Pérou)

Avec ce dernier livre paru en 2013, Mario Vargas Llosa revient au Pérou et retrouve les paysages qui lui sont chers : Lima « la horrible » qui n’est plus si horrible et Piura « la pobre » qui n’est plus si pauvre. Ces deux villes servent de cadre à un roman construit comme un diptyque où le suspense consiste à savoir non seulement comment progressent chacune des deux histoires qu’il nous raconte mais aussi comment elles vont se rejoindre. Car, nous dit-il, citant Borges, « Nuestro hermoso deber es imaginar que hay un laberinto y un hilo ». (Notre beau devoir est d’imaginer qu’il y a un labyrinthe et un fil).

samedi, octobre 03, 2015

Emma et les choses...



Sophie Divry est née en 1979. Elle a été journaliste, notamment pour le mensuel La Décroissance, avant de se consacrer pleinement à l’écriture de romans. Son premier roman, publié chez Les Allusifs en 2010, a connu un beau petit succès.
La condition pavillonnaire est son troisième roman.




Elle y met en scène M.A, née dans le département de l’Isère dans les années 1950, qui grandit tranquillement dans un milieu modeste, obtient son bac avec mention, fait des études d’économie puis rencontre François, son futur mari, avec qui elle achète une maison dans une zone pavillonnaire.